Puisqu'on n'a pas toujours vécu tous les deux
Puisqu'on est fous, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils et elles sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
je l'ai puisé à l'encre de tes yeux
Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes
A trop vouloir te regarder
J'en oubliais les miennes
On rêvait de Martinique et de liberté
J'aimerais quand même te dire
tout ce que j'ai pu écrire
c'est ton sourire qui me l'a dicté.
Tu es venu longtemps marcher dans mes rêves
Tu viendras toujours du côté où le soleil se lève
Et si mlagré ça on arrive à s'oublier
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Aura longtemps le parfum des regrets...
MERCI A FRANCIS CABREL AUSSI................